Descendant d’une plante appelée “ache des marais”, originaire de Méditerranée, le céleri n’était pas considéré comme un légume, mais comme une plante médicinale jusqu’à la Renaissance. Domestiquée puis améliorée, la plante telle qu’on la connaît aujourd’hui est née au XVIIe siècle. Deux variétés furent créées par culture sélective : l’une à tiges particulièrement longues et charnues, le céleri-branche ; l’autre à grosse racine et petites tiges feuillues, le céleri-rave. Mais il faudra attendre le milieu du XIXe siècle pour que le céleri s’invite définitivement dans les cuisines et les assiettes.
Son feuillage doit être vert. Ses côtes blanches doivent être brillantes et cassantes. Son pied assez lourd. Il se conserve plusieurs jours au réfrigérateur dans un linge propre et humide.
Détachez les côtes du céleri, puis les couper au ras des feuilles. Passez-les rapidement sous l’eau claire et séchez-les. Pour supprimer les fils désagréables en bouche, pelez chaque branche à l’économe.
Pauvre en calories, le céleri est aussi riche en fibres et en oligo-éléments. Aussi bien fourni en vitamines C qu’en potassium, le céleri est un concentré de bien-être.